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Retour20 mai 2025
Davide Buscemi - dbuscemi@medialo.ca
Trois travailleurs diplômés à la Scierie Landrienne grâce à la RAC

©Unsplash.
Trois travailleurs diplômés à la Scierie Landrienne grâce à la RAC.
Le Centre de formation professionnelle Harricana a remis, le 13 mai, trois diplômes d’études professionnelles en Opération d’équipement de production à des employés de la Scierie Landrienne, dans le cadre d’une reconnaissance des acquis et des compétences (RAC).
Une cérémonie en milieu de travail
La remise s’est tenue directement à la Scierie Landrienne, où Alexandre Fairfield, Guillaume Vaudry et Jessica Parent ont reçu leur diplôme des mains du directeur du CFPH, Robert St-Onge, et du conseiller pédagogique en RAC, Martin Plouffe.
Cette reconnaissance symbolique vient souligner la rigueur, la persévérance et l’engagement des trois travailleurs, qui ont su démontrer la pleine maîtrise des compétences exigées dans leur métier par le biais de leurs expériences sur le terrain.
Un partenariat tripartite
Le projet repose sur une collaboration entre trois partenaires clés du secteur forestier :
- Formabois, le comité sectoriel de main-d’œuvre du bois, qui a contribué à adapter la formation aux réalités professionnelles ;
- La Scierie Landrienne, qui a soutenu ses employés tout au long de leur parcours et mis en valeur leurs compétences ;
- Le Centre de formation professionnelle Harricana (CFPH), qui a accompagné les candidats dans leur démarche de reconnaissance avec rigueur et bienveillance.
Un levier de valorisation professionnelle
La démarche de reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) permet à des travailleurs expérimentés d’obtenir une qualification officielle sans devoir recommencer une formation complète.
Dans le cas de la Scierie Landrienne, cette approche a permis de mettre en lumière le professionnalisme de trois opérateurs tout en renforçant le lien entre formation, expérience et reconnaissance institutionnelle.
Ce type d’initiative contribue non seulement au développement des individus, mais aussi à la valorisation des métiers manuels dans des secteurs en pénurie de main-d’œuvre, comme celui de la transformation du bois.
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